Politique de cookies

A élaborer des traitements homéopathiques comme ainsi listés
✔ traitement de terrain
✔ traitement de fond
✔ traitement symptomatique
✔ traitement physiopathologique

L’application s’adresse à la fois aux particuliers (usage gratuit et familial jusqu’à 9 personnes) et aux professionnels de santé (abonnement payant pour un nombre illimité de patients).

Parce qu’en quelques clics et des réponses sincères au fil des écrans vous aurez votre traitement sans craindre de mal utiliser toutes les notions précédement décrites.

Allergologie, Angiologie, Cardiologie, Dermatologie, Gastro-entérologie, Endocrinologie, Gynécologie, Maladies infectieuses, Maux de la grossesse, Maux de la ménopause, Troubles de l’allaitement, Neurologie, Ophtalmologie, ORL, Pneumologie, Psychopathologie, Rhumatologie, Urologie.

AppHoméo est disponible sur l’App Store (iOS) et sur Google Play (Android). Il vous suffit de rechercher “AppHoméo” dans votre boutique d’applications, puis de l’installer en un clic.

L'application sera disponible à partir de fin janvier 2026.

Au XVIIe siècle, une légende Inca décrit la guérison de fièvres en buvant une eau de mare dans laquelle sont tombés des arbres à quinquina détruits par la foudre.

Juan Lopez, un missionnaire jésuite du Pérou a été soigné du paludisme (qui donne de la fièvre) par une poudre extraite d’un de ces arbres. Il a transmis le secret à Francisco Lopez de Canizares, gouverneur de Loja (province d’Équateur) qui l’a communiqué au vice-roi du Pérou dont la femme, la comtesse de Cinchon souffrait de paludisme. Elle a ramené en Espagne cette poudre à laquelle elle a donné son nom : le cinchona.
Cette écorce a été répandue après 1640 en Occident pour soigner les fièvres, notamment celles dues au paludisme (la malaria). On note qu’un de effets indésirables du quiquina (CHINA RUBRA en homéoathie) est de provoquer de la fièvre.
William CULLEN (1712-1790) écrit « Materia Medica » traduit en 1790 par Samuel HAHNEMANN (1755-1843) et il note que le quinquina pouvait provoquer mais aussi guérir des fièvres.
Samuel Hahnemann est né à Meissen, en Saxe, le 10 avril 1755. Il étudie la médecine dans les universités de Leipzig, Vienne et Léopoldstadt.
Il partit pour Leipzig en 1789, et se consacra à la traduction d'ouvrages médicaux.
En 1796, il crée l'homéopathie des deux mots grecs, semblable et souffrance.

« Toute substance susceptible de provoquer chez l'homme sain certaines manifestations est susceptible, chez l'homme malade, de faire disparaître les manifestations analogues».

Pour mémoire, on retrouve les prémices de cette théorie de la thérapeutique par les semblables, dans la plus haute antiquité.
Ces principes d'analogie sont déjà explicitement exposés dans la civilisation babylonienne et égyptienne. Hippocrate, dans sa synthèse de la médecine, expose certains des principes de l’homéopathie.

Les principes de similitude et d'infinitésimalité sont repris au XVIIe siècle par Crollius, Kircher et Van Helmont, mais c’est Samuel Hahnemann qui établit l'homéopathie en doctrine cohérente.

Matières médicales
Ce sont des ouvrages écrits dès l’époque de Samuel Hahnemann. On y découvre les différentes souches homéopathiques et l’ensemble des symptômes qu’elles provoquent lorsqu’elles

Souche homéopathiques
Une souche homéopathique permet de fabriquer un médicament homéopathique. Une souche peut être minérale, végétale ou animale.

Pathogénésie
La pathogénésie d’une souche homéopathique (un médicament homéopathie) est l’ensemble des symptômes que provoque une souche si elle est absorbée à dose excessive. Les médicaments homéopathiques sont tous capables de provoquer une pathogénésie, on les choisira pour traiter un malade parce que leur pathogénésie est similaire aux symptômes que présente le malade lorsqu’il consulte alors même qu’il n’a pas absorbé la souche et encore moins à forte dose.

Similitude
La similitude (Homéo en grec) fait référence à la similitude entre une pathogénésie et les symptômes d’un malade.

Type constitutionnel
Dès la naissance nous avons une constitution minérale et par convention, on postule que notre type constitutionnel va évoluer avec les années qui passent. Notre type constitutionnel est reconnaissable par notre morphologie + notre comportement + notre état de santé.
On décrit 5 types constitutionnels différents : Les TC carbonique, phosphorique, fluoriques, sulfurique, muriatique.
Chaque type constitutionnel correspond à un médicament qu’il sera avantageux de prescrire pour assurer l’équilibre de santé et pour faciliter l’action des autres médicaments.

Mode réactionnel
Notre façon de réagir face à la maladie est notre Mode Réactionnel, on en retient 3 différentes :

✔ le MR tuberculinique (la maladie sera alors « explosive » touchant volontiers les voies respiratoires),
✔ le MR psorique (la maladie sera à récurrence périodique et alternant d’un organe à l’autre, par exemple eczéma et asthme tous les printemps),
✔ le MR sycotique (la maladie devenant chronique, permanente). L’étude des pathogénésies des médicaments permet d’attribuer à certains médicaments un mode réactionnel. En les utilisant, on traitera la pathologie et on luttera contre la récidive de ces pathologies « explosives », contre la récidive périodique de ces pathologies.

Type sensible
Pour une même pathologie, un même médicament est plus efficace chez un malade et moins chez un autre. On dit que le médicament est doté d’un type sensible (TS). On aura donc tout intérêt à utiliser ce médicament chez un malade sensible. Ce malade sensible au traitement sera reconnu grâce à des caractéristiques morphologiques + comportementales + état de santé.

Les médicaments symptomatiques sont dotés d’une pathogénésie.
Les médicaments polychrestes sont dotés d’une pathogénésie et d’un type sensible.
Les médicaments grands polychrestes sont dotés d’une pathogénésie, d’un type sensible et d’un mode réactionnel.

Les médicaments physiopathologiques (issus des différents goupes de médicaments de la matière médicale) Ces médicaments répondent à la similitude aux signes d’une pathologie tels que décrits dans la littérature médicale et indépendamment du profil du malade, ils sont utilisables par tous.
Les médicaments symptomatiques (issus du goupe des médicaments symptomatiques de la matière médicale) Ces médicaments répondent à la similitude aux signes propres au malade pour une pathologie donnée.

Les médicaments de fond de mode réactionnel (issus du goupe des médicaments grands polychrestes de la matière médicale). Ces médicaments répondent à la similitude aux signes d’une pathologie qui sont propres au malade mais aussi à son mode réactionnel et parfois à son type sensible.

Les médicaments de fond de type sensible (issus du goupe des médicaments polychrestes de la matière médicale). Ces médicaments répondent à la similitude aux signes d’une pathologie qui sont propres au malade de même qu’à son type sensible.

Traitement minute :
Effet au plus rapide possible contre un évènement récent et inattendu tel qu’un hématome , une piqûre d’insecte ; mais aussi en attendant le traitement complet. Il sera fait de médicaments physiopathologiques

Traitement complet :
Effet au plus rapide possible, qui traitera une pathologie en cours et limitera les récidives. Le traitement complet répondra aux signes de la maladie et aux symptômes propres au malade. Il sera fait de médicaments physiopathologiques, symptomatiques, de mode réactionnel, de type sensible et de type constitutionnel.

Traitement de terrain :
Il est constitué de médicaments répondant à la similitude au type constitutionnel du malade, ils sont propres au malade et indépendants de la pathologie. Vous avez le soucis de votre santé en général, prenez ce traitement pour vous maintenir dans le meilleur équilibre santé possible (avec bien sur une bonne alimentation, un bon sommeil...). Cela limitera les épisodes pathologiques. En cas de maladie, il facilitera l’efficacité des autres traitements. Il sera fait de médicaments de type constitutionnel et de mode réactionnel.

Le traitement préventif d’une pathologie :
On choisit des médicaments en similitude avec la pathologie visée et le patient. Il s’agira de médicaments présentant une similitude avec le type sensible, le mode réactionnel et le type constitutionnel. Ils sont propres au malade. Vous risquez en ce moment d’attraper une rhinopharyngite (que vous n’avez pas encore) et dont vous connaissez bien les (et vos) symptômes ; prenez ce traitement pour éviter les récidives et si d’aventure la rhinopharyngite vous rattrapait, elle sera beaucoup moins violente et beaucoup moins longue.